jeudi 3 avril 2014

Le dénombrement des francophones dans le monde


Quand on aime, on ne compte pas


Je remets à plus tard le billet que je prévoyais mettre en ligne aujourd’hui pour attirer l’attention sur le dernier texte du blog de Robert Chaudenson : « Francophonie et fricophonie ». En voici un extrait en guise d’amuse-gueule :

[…] le dénombrement des francophones (actuels et à venir) est conduit par des démographes québécois qui ignorent tout du Sud et s’abstiennent donc, par calcul ou par ignorance, d’évoquer le niveau de compétence en français de celles et ceux qui sont censés en être des locuteurs. Cette question devrait pourtant être essentielle et surtout préalable à tout dénombrement un peu sérieux, car on ne peut songer à compter, où que ce soit, les francophones, sans avoir auparavant défini le niveau de compétence en français de ceux qu’on classe comme tels.


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